Masser 1% de matière et 99% d’ondes

Un corps humain est composé de beaucoup plus d’ondes que de matière. Le masseur influe sur l’état vibratoire du recevant, y compris dans une dimension d’échange

J’ai une représentation de la matière, et donc de cette matière particulière qu’est le vivant, qui ne dédaigne pas la dimension électro-vibratoire. La structure de la matière est constituée à 99% de vide. La matière « matérielle » (les particules) représente moins de 1% de ce qui structure un être humain. Tout le reste n’est qu’électricité, ondes et vibrations. J’en conclus donc que, même si ce n’en est pas la dimension la plus directement accessible, le corps que je masse est une somme extrêmement complexe de vibrations. Je dirais même, en clin d’œil, 99 fois plus complexe que ce que je vois.

Cela m’amène à un premier postulat de masseur : lorsque je masse un corps, je ne masse pas que les 1% de matière : je viens interférer dans une multitude de champs magnétiques, qui certes n’ont pas besoin de moi pour interférer en permanence, mais qui nécessairement sont impactés par mon intrusion électromagnétique.

 

Ma seconde porte d’entrée dans l’univers vibratoire résulte de mon expérience de la médecine qui y est associée. J’ai à la maison un générateur d’ondes électromagnétiques (de la famille des machines de Rife), dont j’ai pu vérifier l’efficacité. L’idée est que chaque élément du vivant est caractérisé par une fréquence vibratoire spécifique. Ce qui conduit à deux niveaux d’utilisation : d’une part, renforcer des éléments déficients en les soumettant à une fréquence qui les conforte, d’autre part, détruire des indésirables (cellules, bactéries, virus…) en les soumettant à une vibration qui les agresse.

Cela me conduit à mon second postulat de masseur : ma vibration, mes vibrations, ne sont pas neutres… mais je n’ai pas poussé plus loin cette investigation. Je n’ai pas de velléité de maîtriser ce sujet et de m’avancer sur le terrain du magnétisme et autre médecine quantique. Il n’en demeure pas moins que, pour moi, la « bienveillance » que le masseur professionnel doit au massé, n’est pas que conceptuelle. Elle embarque également l’idée que l’état vibratoire du masseur est reçu par le massé et joue un rôle dans sa capacité à recevoir le massage dans de bonnes conditions.

 

Troisième porte d’entrée dans l’univers vibratoire : un autre retour d’expérience. Un ami masseur m’a raconté avoir reçu un patient manifestement très préoccupé. Il commence à le travailler « au corps à corps ». Au bout d’un moment, une image lui vient : il s’arrête et demande « le prénom Jean-Pierre, cela vous parle ? ». Son patient s’effondre en larmes. Ledit Jean-Pierre était effectivement la cause de toutes ses préoccupations.

Cela m’amène à mon troisième postulat de masseur : je ne sais pas comment. Je ne sais pas à quel niveau. Je ne sais pas selon quelle intensité. Mais de toute évidence la communication qui s’établit entre le massé  et moi n’est pas que de l’ordre du touché.

© Joël Massage Bastia Corse www.joel.mic.fr